Lors du Tour de France 2015, 656 prélèvements ont été réalisés, dont 482 prélèvements sanguins et 174 prélèvements urinaires. Aucun ne s’est avéré positif, mais les échantillons seront conservés pour d’éventuelles analyses rétrospectives dans le futur.

« Notre stratégie de ciblage des contrôles a été renforcée grâce à l’utilisation d’informations provenant de nombreuses sources et au renfort d’un investigateur. Une nouvelle fois, la collaboration avec l’Agence Française de Lutte contre le Dopage (AFLD) fut excellente, et la stratégie de ciblage des contrôles a été discutée quotidiennement en tenant compte des performances des coureurs et d’autres données« , a réagi la directrice de la Fondation antidopage du cyclisme, le Dr Francesca Rossi.

Le Président de l’AFLD Bruno Genevois a souligné pour sa part que « tous les échantillons recueillis sur le Tour de France 2015 ont été analysés en France, dans le Laboratoire de Châtenay-Malabry, accrédité par l’Agence mondiale antidopage (AMA), qui utilise les toutes dernières technologies de détection. »

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