L’AFLD a réuni à nouveau par visioconférence le groupe de travail technique chargé d’accompagner la mise en œuvre de son plan d’éducation aux valeurs du sport propre.
Ce groupe de travail rassemble de nombreux partenaires du sport français parmi lesquels le ministère chargé des Sports, l’Agence nationale du sport, le CNOSF (Comité national olympique et sportif français), le CPSF (Comité paralympique et sportif français), le COJOP Paris 2024, l’ANLSP (Association nationale des ligues de sport professionnel), l’ASDTN (Association des directeurs techniques nationaux), l’INSEP (Institut national du sport, de l’expertise et de la performance), des représentants des sportifs, des représentants des CREPS (Centre de Ressources d’Expertise et de Performance Sportive), des AMPD (Antennes médicales de prévention du dopage), de la FNASS (Fédération nationale des associations et syndicats de sportifs), de la FEP (Fédération des entraineurs professionnels) et plusieurs fédérations sportives parmi lesquelles l’athlétisme, le cyclisme, le football, le golf, le rugby, le tennis et le triathlon.
Le plan d’éducation pour un sport propre s’adressera à l’ensemble des sportifs, ainsi qu’à leur personnel d’encadrement (entraîneurs, cadres techniques, parents, médecins, agents, etc.).
Les actions d’information, de sensibilisation et d’éducation seront dispensées sur le terrain par des éducateurs qui seront formés et agréés par l’AFLD.
En parallèle, chaque organisation sportive désignera en son sein, si ce n’est pas encore le cas, un(e) référent(e) antidopage. Principal interlocuteur sur ces questions pour l’AFLD, le ministère chargé des Sports, le CNOSF et sa Fédération internationale, le référent sera notamment chargé de coordonner la mise en œuvre du plan fédéral de prévention du dopage et d’évaluer chaque année la portée et l’efficacité des actions de prévention et d’éducation.