COMMUNIQUÉ DE PRESSE

À la suite d’un arrêt du Conseil d’État du 15 avril 2016 ramenant de deux ans à un an l’interdiction faite à un sportif de haut niveau de prendre part à des manifestations organisées ou autorisées par la Fédération dont il relève, le Collège de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a été conduit à préciser les effets dans le temps de cette sanction.

En fonction des étapes de la procédure suivie devant les organes fédéraux, l’Agence elle-même, puis le Conseil d’État, et compte tenu du fait que ne peuvent être déduites d’une sanction infligée que les périodes de temps couvertes effectivement par une suspension provisoire à titre conservatoire ou une interdiction prononcée à l’échelon fédéral, le Collège de l’AFLD a conclu que le sportif en cause devra s’abstenir de toute participation aux manifestations organisées par sa Fédération d’appartenance pour une période de six mois et treize jours à compter de la date à laquelle il recevra notification de l’arrêt du Conseil d’État du 15 avril 2016.