3. Étude de l’hyperandrogénie féminine chez les sportives de niveau variable, par combinaison du stéroïdome circulant et de l’analyse machine learning
(Département de Métabolomique Clinique, APHP Sorbonne Université).
L’analyse du profil stéroïdien (ou stéroïdome) chez les femmes est plus complexe en raison des variations hormonales liées au cycle menstruel et d’autres facteurs tels que l’activité sportive intense ou la prise de contraceptifs. Une approche combinée de métabolomique et de machine learning pourrait aider à mieux comprendre l’impact de l’activité sportive sur le stéroïdome circulant. L’objectif principal est d’analyser ces effets en considérant des populations de sportives de haut niveau, des sportives de type STAPS et également des populations de femmes non sportives atteintes ou non d’hyperandrogénie d’origine ovarienne ou surrénalienne.
En plus des profilages sériques, il s’agira de développer des méthodes analytiques à partir de DBS.